En ce qui concerne beaucoup de processus d’application, l’eau liquide ou le potentiel pour le développement de l’eau liquide sont indésirables ou interdits. Pour cette raison, on applique des technologies de dessiccation différentes pour diminuer le point de rosée d’un gaz de processus (p.ex. air comprimé) sur un point lequel empêche la formation de condensat (ça veut dire la formation de l’eau liquide).

Si un gaz chargé par l‘humidité (vapeur d’eau) se refroidit, à une certaine température il se développe de l’eau liquide en forme de brouillard dans le gaz ou de rosée sur des superficies solides. Cette température est définie comme température du point de la rosée ou, plus facilement, comme point de rosée. En ce qui concerne beaucoup de processus d’application, l’eau liquide ou le potentiel pour le développement de l’eau liquide sont indésirables ou interdits. Pour cette raison, on applique des technologies de dessiccation différentes pour diminuer le point de rosée d’un gaz de processus (p.ex. air comprimé) sur un point lequel empêche la formation de condensat (ça veut dire la formation de l’eau liquide).
Le point de rosée est une température et est signalée en °C. Il est facile à comprendre et a une connexion directe avec beaucoup de paramètres de processus. Par conséquent, il est une mesure physique préférée pour la mesure et indication du contenu d’humidité dans les gaz. En comparaison avec des indications de concentration, lesquelles définissent la relation de quantité entre eau et gaz, (p.ex. en l’unité g/m³), le point de rosée ne définit pas la quantité d’eau dans le gaz, mais le comportement des liquides desserrés dans le gaz en relation à la température du gaz. Par conséquent, le point de rosée n’est pas approprié pour l’application dans des bilans de masse, mais il peut être converti en une indication de concentration avec l’aide de formules et tableaux (voir tableau de la pression de vapeur). Cependant, il y a une relation directe entre le point de rosée et l’humidité relative (UR). Si la température du gaz arrive à la température du point de rosée, l’humidité relative (UR) du gaz compte exactement 100% et ainsi le gaz est saturé d’humidité.
En plus, on distingue le point de rosée et le point de rosée de la pression:
point de rosée | se réfère à l’air atmosphérique sans pression (point de rosée atmosphérique) |
point de rosée de la pression | se réfère à un gaz sous pression (p.ex. air comprimé) avec une certaine surpression de travail |
Si on augmente un gaz comprimé sur la pression atmosphérique, on augmente son volume. L’humidité desserrées dans le gaz est diffusée sur un volume plus grand – le gaz est séché au même temps. Par conséquent, le point de rosée d’un gaz mesuré sous conditions atmosphériques est inférieur au point de rosée du même gaz mesuré sous pression. Pour les indications du point de rosée il faut toujours indiquer la pression de référence pour éviter confusions et erreurs en choisissant et dimensionnant le sécheur.
En général, on indique les points de rosée des sécheurs de l’air comprimé comme points de rosée de la pression. C’est toujours plus sécure de vérifier l’indication! Si nécessaire, il est possible de convertir les points de rosée atmosphériques en points de rosée de la pression.